Sartre
/ Cogito cartésien / Absolu / Certitude
Rapport
entre la question de « l'absolu » et la question
« certitude » : une certitude = une « af-firmation »
suffisamment « ferme » pour que toutes les autres
puissent reposer sur celle-ci. Toutes les autres affirmations ne
seront «fermes », ne trouveront de fermeté que dans un
rapport, une relation à cette première, primordiale affirmation.
Affirmation
« prim-ordiale » : est primordial ce qui est
« premier » selon l'ordre, mais selon quel ordre, quelle
logique ? Non pas chrono-logique, mais logique > différence
entre un simple « commencement » et un véritable
« fondement ».
« Il
faut commencer, dit-on, par le commencement ». Dans cette
phrase, « commencer » et « commencement » ne
sont pas pris dans le même sens (même si, bien sûr, le verbe et le
substantif sont formés sur le même radical) car le verbe évoque
l'ordre chronologique tandis que le substantif (commencement) évoque
le fondement, c'est-à-dire un « commencement » non pas
dans le temps (chronologique) mais une base, un sol, un fond
(logique) sur lequel s'appuyer, faire reposer tout le reste.
Ecart, distorsion, décalage inévitables entre le commencement et le fondement > l'enfance "parce que nous avons été enfants avant que d'être hommes" Descartes, Discours de la méthode.
D'où le poème de Verlaine "Le ciel est par-dessus le toit" (extrait de Sagesse, 1881) et l'oeuvre de Fauré, Prison inspirée du poème de Verlaine.
Qu'est-ce
qu'une (bonne) « intro-duction », une « entrée en
matière »?
Structure musicale
exposition
développement
ré-exposition